Par Lucas Du Berger Deret
Au cours de mon stage chez Cartier et Lelarge, j’ai eu la chance de travailler avec des traducteurs et traductrices professionnels et amicaux.
Mon travail consistait à traduire, à l’aide d’une gamme de logiciels, les documents que l’on m’a confiés : brochures publicitaires, offres d’emploi, rapports d’activités ou encore notes de service. Ces documents provenaient d’entreprises et d’organismes de différents domaines, comme les télécommunications d’affaires, l’industrie minière et la défense des droits des patients.
Tous les jours, j’avais accès à mon horaire de travail dans un outil convivial et comme nous travaillions tous à distance, je communiquais avec le personnel de Cartier et Lelarge principalement au moyen d’une application de messagerie instantanée. Au premier abord, ça semble faire beaucoup de logiciels différents dont on doit apprendre le fonctionnement, mais une fois l’étape d’adaptation passée, je les ai bien intégrés dans ma routine quotidienne.
Pendant mon stage chez Cartier et Lelarge, j’ai pu apprendre de nombreuses choses sur le côté pratique de la traduction. En fait, dès le début, j’ai noté tous les commentaires qui m’étaient faits par mes réviseurs dans un cahier prévu à cet effet pour me constituer une petite « Bible » personnelle de conseils de traduction. Grâce à cela, et à l’aide généreuse de mes collègues, j’ai pu m’améliorer, petit à petit.
Même si je n’y ai pas souvent pris la parole, j’ai ressenti une chaleureuse ambiance de camaraderie lors des nombreuses « Fika » auxquelles j’ai participé. L’annonce du départ d’une des fondatrices du cabinet vers la fin de mon stage a été pour moi teintée de mélancolie; l’une des pierres angulaires de l’entreprise partait avant même que j’aie fini mon stage, avant que j’aie pu travailler avec elle. D’ici la fin de mon expérience, j’espère cependant pouvoir développer des relations plus approfondies avec mes collègues.
Cet article fait partie de notre série Parole de stagiaire. Lisez les autres articles ici.