L’anglais doit-il être par défaut la langue des affaires? Pas nécessairement, car la véritable langue des affaires est… la langue du client. Et comme on peut brasser des affaires dans n’importe quelle langue, on a de bonnes raisons d’être optimiste quant à la place du français dans les échanges commerciaux. À ce propos, il convient de souligner la contribution de HEC Montréal, qui organise une série d’événements dans le cadre de la Semaine du français visant à souligner la valeur de la langue de Molière. Pour en savoir plus, cliquez ici.
Source de l’image : HEC Montréal