Mon stage chez Cartier et Lelarge est le troisième et dernier stage de mon baccalauréat spécialisé en traduction, orientation coopérative. J’ai effectué mes deux premiers stages au même endroit et de façon continue, alors celui que je fais en ce moment n’est que ma deuxième expérience en milieu professionnel.
Je peux dire que j’ai déjà plusieurs flèches de plus à mon arc d’apprentie traductrice, et ce, en seulement quelques semaines.
Tout d’abord, je ne peux m’empêcher de mentionner que l’ambiance est très agréable. En tant que stagiaire, je me sens bien intégrée à l’équipe et je sais que je peux toujours communiquer avec mes collègues si j’ai des questions; je n’ai jamais l’impression que je dérange. Aussi, ayant fait mon premier stage dans une entreprise dont les activités n’ont aucun rapport avec la traduction ou la langue en général, et ayant été la seule langagière à cet endroit, je n’ai jamais reçu de rétroaction sur mon travail. Considérant cela, le processus de révision en place chez Cartier et Lelarge m’a beaucoup plu : non seulement le processus est égalitaire, en ce sens où tout le monde est révisé, peu importe le niveau d’expérience, mais la rétroaction fournie est également très constructive et claire. Je peux dire que j’ai déjà plusieurs flèches de plus à mon arc d’apprentie traductrice, et ce, en seulement quelques semaines. J’étais moi-même surprise de constater une amélioration dans ma compréhension des textes source et dans ma rédaction!
Étant une personne qui travaille très bien sous pression et dans un environnement de travail encadré, j’étais un peu déstabilisée de travailler de la maison, où il n’y a ni pression ni cadre.
Ensuite, force est de reconnaître que la situation de la COVID-19 a bouleversé l’expérience de stage. Les principaux défis associés au télétravail concernent l’efficacité, la compréhension et la concentration. Les deux premiers défis vont de pair : le fait de ne pas être au bureau avec ses collègues pour poser spontanément des questions ou pour interagir en personne à la révision rend le travail un peu moins efficace et les réponses parfois moins intelligibles. L’intermédiaire qu’est la plateforme de clavardage, qui est d’ailleurs très simple d’utilisation, s’avère très pratique, mais complique parfois les échanges au sujet d’une difficulté, parce qu’il n’est pas toujours facile d’expliquer le contexte. Cependant, j’ai toujours réussi à avoir les réponses à mes questions en peu de temps. Le troisième défi que j’ai rencontré concerne la concentration. Étant une personne qui travaille très bien sous pression et dans un environnement de travail encadré, j’étais un peu déstabilisée de travailler de la maison, où il n’y a ni pression ni cadre. J’ai dû développer de nouveaux trucs pour rester concentrée. Néanmoins, une chose est sûre : cette expérience m’a permis de renforcer mon assiduité et ma discipline, des qualités professionnelles qui me seront assurément utiles si je deviens travailleuse autonome!
En somme, je me considère très choyée que Cartier et Lelarge m’ait donné la chance de faire un stage dans son cabinet!
Finalement, chez Cartier et Lelarge, l’entièreté du processus de traduction – de la réception à la livraison – est très intuitif et transparent. La séparation claire des tâches et l’uniformité de tous les dossiers simplifient énormément le travail. C’est d’ailleurs quelque chose qui m’inquiétait avant de commencer. Mais la formation et les documents explicatifs fournis en début de stage m’ont permis de saisir rapidement le fonctionnement du cabinet et je n’ai jamais douté de quoi que ce soit à ce sujet, ce qui est très rassurant en tant que stagiaire. Les outils utilisés sont également très pratiques. En somme, je me considère très choyée que Cartier et Lelarge m’ait donné la chance de faire un stage dans son cabinet! Je souhaite beaucoup de succès à tous leurs futurs stagiaires.
Cet article est le premier de notre série Parole de stagiaire. Lisez les articles deux et trois.